mardi 26 janvier 2016

au secours, ma salle de bain déborde !

Moi qui suis une fille (eh oui !!), je reçois souvent, quand vient le moment des fêtes (Noël, anniversaires…), des produits cosmétiques : soins, maquillage… Et c’est cool.

J’ai aussi parfois une folle envie de m’acheter le nouveau gommage soi-disant trop top (merci les pubs, les copines et les youtubeuses beauté). Vous savez, celui qui rend la peau plus lisse que lisse en un temps record avec une odeur de rêve… Bref, dans ma quête de déconsommation, parfois, je m’égare. Je sais, c’est mal mais je me soigne.

Enfin, j’ai un mari super mais qui adore les promotions. Du coup, quand le gel douche que nous utilisons est en tête de gondole avec un -50% ou pire le deuxième gratuit; ben là, c’est le drame. Il me fait une réserve pour six mois. Tout le monde ne peut pas être parfait.

Toutes ces habitudes de consommation font que ma salle de bain ressemble un peu à ça :

Source ici

Oui, c’est ça, un rayonnage beauté de supermarché. Plus sérieusement, quand j’ouvre mes placards pour faire le grand ménage de printemps (ou pas), je suis souvent surprise de la masse de produits que j’ai entassé et dont je ne me suis jamais servis (ou très peu). 

Il y a aussi tous ceux que j’ai entamés puis délaissés pour le voisin qui me faisait de l’œil.

Alors, c’est décidé, pour 2016, je me lance un défi de taille : terminer un certain nombre de produits de soin entamés, apprendre à modérer mes envies et choisir une routine soin simple, efficace et de qualité (bio). Sur ce dernier point, j’y travaille depuis quelques mois et cela fera l’objet d’un prochain article.

Voici donc, en chair et en os, les grands gagnants du concours : « Je ne passerai pas l’année 2016 » !


Je me laisse, disons… trois mois pour en venir à bout. Je vous tiendrai bien sûr au courant lorsque j'aurai accompli ma mission.


Emmanuelle pour Rocket Juice

jeudi 21 janvier 2016

béatitude

Mathilde du 54 nous propose cet article drôle et inspiré qui ne pouvait que nous emballer (enfin, façon de parler bien sûr) ! Car nous sommes toutes des adeptes, de près ou de loin, de Béa Johnson, la femme qui a déclaré la guerre aux emballages ! Merci Mathilde !

La sacro-sainte bible (et le vernis Stiletto de Scotch Naturals!)
Ah Béa Johnson !...  Zéro Déchet ou le livre qui a changé ma vie !   

Alors ok, le livre a déjà été cité dans un précédent post mais comment ne pas insister sur ce petit bijou, que dis-je cette prouesse littéraire dont la lecture, à mon sens, devrait être imposée dans nos écoles.

Je l’avoue cette américaine d’adoption (oui oui Béa Johnson est française de naissance) peut aller parfois vers l’excès : aller ramasser de la mousse dans les forêts pour ne plus consommer de papier toilette... c’est comme qui dirait un poil trop ! A côté de ça, elle nous ouvre les yeux sur des détails de la vie de tous les jours et nous livre quelques astuces pour améliorer le quotidien.
C’est comme ça que l’on change nos habitudes de vie et si tout le monde faisait de même, on réduirait bigrement notre consommation, nos déchets et donc - point sensible - nos dépenses !

Attention je vous vois venir ! Pas d’amalgame hein ! L’écologie ce n’est pas prendre une douche mensuelle et qui plus est en se frottant avec de l’herbe verte ! Faut pas pousser mémé dans les orties... Nan nan nan on peut être écolo en rationalisant tout bêtement sa consommation. Par exemple, on dit stop au papier d’emballage du pain, même si la boulangère vous l’offre gracieusement. Arrivé à la maison il finit à la poubelle : verdict, zéro utilité. Et pour les plus sceptiques, fabriquez vous un petit sac en tissu (parce qu’on a le droit de rester chic en toute circonstance) pour recueillir vos miches vos baguettes.

Deuxième exemple, et nan nan nan les filles ne nions pas, on fait toutes ça... Sortons nos vêtements de nos placards et posons nous la question « qu’est ce que je porte régulièrement ? ». Au final personne ne me contredira si je dis qu’on ne porte en vérité pas plus d’un tiers du contenu de notre dressing. Pourquoi alors ne pas en faire don à des centres d’hébergement, des associations caritatives ? Luttons contre le sempiternel : « Celui là je le garde pour faire des travaux / pour faire un pyjama d’extrême secours / pour un voyage dans l’espace » NON ! La seule question qu’il faut se poser c’est « est-ce que je l’ai porté ces 12 derniers mois ? » (vous l’avez vu, le laps de temps est assez long hein ;) pas folle quand même !)
Et si on faisait pareil avec nos salles de bain ?* Combien de crèmes / shampooings /soins du corps avons nous acheté sans jamais les utiliser plus de deux fois ? Nos villes regorgent de centres d’hébergement de secours pour les hommes ou femmes en situation de précarité. Eux aussi ont le droit à un peu de coquetterie ! Et ces associations accueillent vos dons à bras ouverts (voui voui expérience validée).

Allez, encore une petite astuce pour réduire nos déchets cracra : le compost bien sur ! Et oui parce que le compost n’est pas dédié qu’à ceux qui ont la villa avec jardin à perte de vue ! Ce charmant réceptacle s’adapte à nos foyers jusqu’à s’imposer dans nos appartements avec ou sans balcon. Et arrêtons tout de suite les idées reçues : les odeurs restent dans le composteur ! On ne parle pas là de stocker un tas de fumier ! Et pour pousser le vice jusqu’au bout (parce qu’on est tous un peu radin quand il s’agit de ses dépenses là) de nombreuses mairies peuvent vous mettre à disposition des composteurs communs à partager avec vos plus charmants voisins ou proposer des composteurs à des tarifs préférentiels. Ce petit accessoire des plus saillants nous permettrait mine de rien de réduire de 30% nos déchets ménagers.
Je pourrais encore vous citer mille exemples mais je vous laisse découvrir et vous délecter de cette lecture ! 

7,60€ en format poche autant dire que c’est de l’argent bien placé ! Livre qui est, bien évidemment, à prêter entre copains / frères et sœurs, à se transmettre de générations en générations ou à relire régulièrement et surtout sans modération :)

Mathilde


* bientôt un autre petit article à ce propos !

vendredi 15 janvier 2016

adieu Sopalin !





Il y a deux ans, j'ai lu le livre de Béa Johnson Zéro déchet, et c'était le début d'un gros changement dans ma façon de consommer.
Béa Johnson, son mari et ses deux fils, ont pour objectif de ne rien jeter. Leurs déchets non recyclables d'une année tiennent dans un bocal. Dans son livre, Béa explique comment réduire voire supprimer ses déchets pour chaque situation de la vie quotidienne, en suivant ces principes dans l'ordre : Refuser, Réduire, Réutiliser, Recycler, Composter.

A la première lecture, ça paraît très extrême, et on devient pas Béa Johnson en un mois.
Mais ce livre est une mine d'idées ! Je le relis d'ailleurs régulièrement.

La première chose que j'ai mise en place après avoir lu Zéro déchet, c'est de ne plus acheter d'essuie-tout. On s'en servait tous les jours, une tâche par terre, se moucher, comme serviettes de table... je pensais que le changement serait difficile mais finalement, c'est très facile à gérer.
J'ai dédié un tiroir de ma cuisine facile d'accès pour y mettre mes chiffons et dès qu'on en a besoin, il suffit de se servir.
Au début, ça va vite, et on se rend compte qu'il faut plus de chiffons. Un vieux t-shirt taché, un pyjama troué, une serviette de toilette délavée... et nous voilà avec plein de nouveaux chiffons ! Alors oui, c'est pas toujours très joli joli, ça s'effiloche, il reste des tâches, mais c'est juste pour faire le ménage.

Pour nettoyer la table et le plan de travail de la cuisine, je n'utilise plus que des chiffons propres et un pulvérisateur de vinaigre blanc. Plus d'éponge ! Je n'ai jamais trouvé ça très hygiénique et fini le « non mais celle-là c'est pour la vaisselle ! ».

Pareil, dans la salle de bain, un petit panier avec un stock de chiffons et son pulvérisateur de vinaigre blanc remplacent notre éponge.

Après utilisation du chiffon, je le met directement dans la machine à laver pour la prochaine lessive. Et non, je ne fais pas plus de lessive qu'avant (par ailleurs, j'ai aussi réduit la quantité de vêtements à laver en ne mettant plus systématiquement un vêtement porté un jour dans la panière à linge).

On a aussi ressorti les serviettes de table, qu'on lave une fois par semaine. J'ai cousu une quinzaine de petites serviettes dans un tissu africain très bariolé pour les invités (au revoir serviettes en papier). J'utilise ces serviettes très souvent pour le goûter de mon fils, ça fait double emploi : emballage et serviette. Idéalement, il faudrait toujours en avoir une dans son sac.

Maintenant, il me reste à supprimer la boîte de mouchoirs en papier. Quand j'ai tenté le changement, on a tous eu le rhume dans la famille et les quelques mouchoirs en tissu à disposition, n'ont pas suffit. Ce sera la prochaine étape !


Coralie :)

jeudi 14 janvier 2016

stop-pub !


Ce matin encore je me suis félicitée de ne trouver aucune publicité dans mon courrier. Pour tout vous dire, dans ma quête de réduction des déchets, j'ai commencé par ma boîte à lettres.
Étant donné que ma technique pour diminuer mes déchets est de me demander à chaque fois que je jette quelque chose comment j'aurais pu m’en passer ?, il m’est vite apparût que les publicités prenaient une part énorme dans mon recyclage. Et je n’avais pas besoin de tous ces prospectus puisque je ne les lis jamais. Le mois de la pizza six fromages ou les promo exclusives sur les chaussettes et les tourne-vis, comment dire... ça ne me passionne pas vraiment.
C’est fou parce que ces prospectus que l’on nomme "courriers non adressés" correspondent à 31 kg de déchets par foyer. Du coup, j’ai collé sur ma boîte à lettres un stop pub. Cette étiquette mentionne le refus de recevoir ces publicités envahissantes.
Je ne vous cacherai pas qu’au début j'étais persuadée que ça ne servirait à rien. Je pensais que les personnes en charge de la distribution s’en ficheraient pas mal. Mais ça fait plusieurs mois maintenant que je l'ai apposée sur ma boîte et ça fonctionne pour de bon ! Il y a bien toujours quelques publicités qui atterrissent dans mon courrier mais franchement c’est le jour et la nuit.
Vous pouvez vous la procurer en l’imprimant via le site : http://www.developpement-durable.gouv.fr/Stop-pub-moins-de-prospectus-dans.html ou auprès de votre collectivité : conseil général, communauté d’agglomération…

Grâce à cette petite étiquette, j'ai alléger ma poubelle de tri et ça fait sacrément du bien ! En plus, je sais pas vous, mais moi j'avais toujours peur de jeter par inadvertance du vrai courrier qui se serait coincé entre deux pubs ! 

Les étiquettes d'Elly Beth
Pour celles et ceux qui préfèrent, on peut aussi la créer soit-même, s'en procurer auprès de certains magasins, comme Botanic, ou imprimer des créations comme celle d'Elly Beth ou de Chlouwy! Attention, dans ce cas par contre elle n'est pas homologuée (moins officielle et peut-être moins convaincante auprès des distributeurs de prospectus) !


À très bientôt ! Emmanuelle


mardi 12 janvier 2016

la givebox

À Lyon, on a une Givebox depuis un an. Et même que régulièrement je vide mon appartement dedans !
 
Depuis 2011 à Berlin, et aujourd'hui un peu partout en France, ce concept de modules dans lesquels on dépose ce dont on ne veut plus et dans lesquels on prend ce qu'on veut, permet de donner une seconde vie à des tas d'objets !

La Givebox vendredi dernier. Comme vous le remarquez, il y a eu un peu de débordement...
Sans aucune obligation, libre d'accès et totalement gratuits, ces espaces de don permettent de se débarrasser sans jeter. Par exemple, je me suis séparé de quelques vernis à ongles quasi neufs que je n'ai finalement jamais utilisé. On peut difficilement donner ce genre de choses aux Emmaüs, vous en conviendrez. Et bien zou, je sais que dans la Givebox mon vernis bleu American Apparel fera une heureuse (ou un heureux, pourquoi pas) ! Il existe aussi des boîtes à livres comme la Boîte à Lire à Lyon pour les lectures que l'on ne souhaite pas conserver. Le dernier Guillaume Musso que vous avez eu pour Noël ? Hop, il fera sûrement l'affaire pour quiconque souhaite le lire sur la plage cet été ! 

Livres, vêtements, jouets, CD (gravés même), bibelots, magazines, chaussures, coquillages, pots en verre, maquillage, vous pouvez tout mettre, à condition que ce soit un minimum en état de resservir ! Oui hein, attention, ces espaces ne sont pas des déchetteries, encore moins des poubelles !

Renseignez-vous, il en existe peut-être tout près de chez vous. Le projet Givebox, initié à Lyon par Lisa Lejeune, designer, et Magali Seghetto, graphiste, propose aussi d'en monter soit-même. Il suffit ensuite de demander l'autorisation de la mairie pour obtenir un emplacement. C'est pas une super idée ça ?

D'autres prennent aussi l'initiative d'installer des boîtes d'échanges entre voisins faîtes de petits rien et remplies de beaucoup de choses ! Comme aperçues montée de la Grande Côte, Lyon 1er, place Benedict Tessier, place de Trion, rue des Macchabées et jardin Jean Choux, Lyon 5ème. Affaire à suivre ici car elles poussent comme des petits champignons !

Givebox Lyon : place Jules Guesdes Lyon 7ème (près de Jean Macé) 
A priori il y en aurait également une à l'intérieur de la MJC dans le 8ème.

Boîte à Lire : place Guichard Lyon 3ème (quasiment à la sortie du métro)

Et sinon il existe les donneries et c'est ici !

À tout bientôt ! 

Mélisande

La Boîte à Lire place Guichard Lyon 3ème © Isabelle Maroger

vendredi 8 janvier 2016

fini l'auriculaire, vive l'oriculi


Hello ! Aujourd'hui on aborde le problème de l'hygiène des oreilles : je vais vous parler de l'oriculi ! Alors, oui, très bien, mais qu'est-ce que c'est ?

Je vais vous dire, à chaque fois que je jette un truc à la poubelle, je me pose la question«qu’est-ce que j’aurai pu faire pour ne pas jeter ça Pour certains déchets c'est encore très souvent inévitable, mais pour d'autres, il y a des solutions.

En général, on utilise un coton-tige pour se nettoyer les oreilles. Moi, j’ai pris l’habitude de le faire très régulièrement. À une époque, j’utilisais une bonne dizaine de coton-tiges par semaine. Inutile de dire que ça représente autant de tiges en plastique perdues dans la nature.

J’ai donc cherché sur internet un moyen d'éviter les cotons-tiges et j'ai découvert l’oriculi ! Je m’en suis procuré un en métal inoxydable car il se nettoie facilement en le trempant dans de l’eau bouillante. Son autre avantage, et pas des moindres : il est utilisable ad vitam aeternam. Il en existe également en bambou, comme ici

Au départ, comme mon oriculi est en métal, j’avais un peu peur de me blesser. Finalement, RAS, il faut juste prendre le coup de main. Avec le coton-tige on tourne, là ça a plus la forme d’une cuillère d’où le terme de cure-oreilles. Je me demandais également si ce serait aussi efficace que le coton-tige. Alors là, rien à voir (et c'est le cas de le dire), pour moi c’est une petite révolution, j’ai le sentiment d’avoir les oreilles plus propres que jamais !

La cerise sur le gâteau : j’ai réussi à convertir mon conjoint qui l'a très rapidement adopté ! Une nouvelle victoire dans ma lutte contre les déchets.

PS : si vous continuez à utiliser des coton-tiges pour ajuster votre eye-liner en nettoyant le maquillage qui a débordé, ou votre vernis à ongles qui a bavé sur les doigts, il existe des coton-tiges avec des tiges en papier. C'est un moindre mal car ils sont biodégradables !

Voici la bête. Je me le suis procuré ICI. Je ne vous le montre pas en action. En le voyant, on comprend le principe :-)



Emmanuelle pour Rocket Juice

mercredi 6 janvier 2016

les trop bonnes résolutions


Voilà, c'est la nouvelle année qui s'accompagne de bonnes résolutions.
D'ailleurs moi, j'aime tellement ça que j'en fais toute l'année ! Après il s'agit de les tenir.

Quand on se renseigne sur l'écologie et la santé, on se rend compte qu'il faudrait faire tout l'inverse de ce qu'on a l'habitude de faire. Consommer de la viande a un impact sur le réchauffement de la planète, le plastique pollue nos mers, les œufs c'est des petits poussins mâles écrabouillés, le sucre c'est pire que la cocaïne et le gluten c'est le mal absolu ! (treeeeemblez !)

Mais à vouloir faire trop bien, on fait rien du tout.

Pour mon fils de 5 ans, je voulais faire moi-même ses biscuits du goûter. Parce que ceux du commerce sont trop sucrés, emballés dans du plastique, contiennent des additifs...
Alors j'ai cherché la recette PARFAITE ! Le biscuit sans gluten ni produits laitiers, ni œuf, ni sucre et bio bien sûr. Il fallait écraser une banane très mûre (facile à trouver dans le commerce). Le résultat était très nuuul... et je suis allé au supermarché du coin acheter un paquet de dinosaures au chocolat !

J'aurais pu abandonner mais j'ai persévéré.

Désormais, je me concentre sur un seul objectif : réduire mes déchets.

Alors, je vais dans ma boutique de vrac avec mes sacs en tissu et mes bocaux, je fais le maximum pour acheter sans emballage et bio.
Je tente d'autres recettes, plus simples. Même que y a du gluten, du sucre, des œufs et du beurre dedans !
Y a des semaines où je suis fière de moi, je fais des biscuits moi-même... et d'autres semaines où j'ai juste le temps de rien et je donne à mon fils ceux du commerce.
Mais je me dis qu'à chaque fois que j'ai fait les biscuits moi-même, c'est toujours des emballages carton et plastique de moins dans la poubelle. Et du sirop de glucose et des additifs en moins dans le ventre de mon enfant.
Petit à petit, peut-être que je n'aurais plus jamais besoin d'acheter ceux du commerce. Et qui sait peut-être qu'un jour ils seront sans gluten, sans œuf, sans produit laitier et sans sucre ?

Les bonnes habitudes ne peuvent pas se prendre toutes d'un coup, mais petit à petit.
Et puis, on est même pas obligé de tout changer ! Chacun est libre de faire ce qu'il veut en toute conscience.

Mais personnellement, j'aime bien tenter l'expérience avant de dire que ça ne marchera pas :)



Coralie

lundi 4 janvier 2016

c'est bon mais c'est chaud

 
J'ai testé et approuvé hier soir une recette gourmande et croquante pour la plus grande joie de vos papilles ! Une recette toute bio toute simple : les cookies au beurre de cacahuète ! Les ingrédients sont trouvables dans n'importe quelle boutique bio, mais j'ai triché pour les pépites de chocolat, achetées à la dernière minute au Monop'. 

Cette recette, proposée par Anne Lataillade du blog Papilles Et Pupilles, est inratable. Promis, je suis nulle en cuisine et j'ai réussi à faire des cookies mille fois meilleurs que les morceaux de carton insipides que les industriels nous vendent. Bon d'accord, vous me direz c'est pas très difficile. Mais essayez et vous m'en direz des nouvelles ! C'est rapide, tout bête, et au final ça revient à dépenser très peu de sous !


Pour une trentaine de cookies il vous faut :

  • 180 g de sucre bio moitié blanc, moitié roux
  • 170 g de farine bio
  • 100 g de beurre de cacahuètes bio
  • 100 g de beurre bio
  • 1 cuillère à café rase de poudre à lever bio
  • ½ cuillère à café de bicarbonate de soude
  • 1 œuf bio
  • 1 cuillère à café d'arôme vanille bio (ou sucre vanillé bio)
  • 80g de pépites de chocolat


 Préparation (comptez 1h20 au total) :
  1. 30 minutes avant de commencer la recette, sortez le beurre du réfrigérateur, coupez-le en dés et laissez-le ramollir à température ambiante.
  2. Mettez dans un saladier le beurre ramolli et le beurre de cacahuètes et fouettez pendant 30 secondes. Ajoutez ensuite le sucre, la poudre à lever, le bicarbonate de soude, mélangez. Versez la vanille liquide (ou le sucre vanillé), l'œuf battu en omelette et fouettez à nouveau. Ajoutez les pépites si vous souhaitez en mettre. Terminez en incorporant la farine, toujours en mélangeant.
  3. Entreposez cette pâte au réfrigérateur pour 1 heure minimum.
  4. Préchauffez le four à 190°C (thermostat 6).
  5. Formez des boules de pâte de la taille d'une noix. Déposez-en une dizaine sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé (réservez les autres au réfrigérateur en attendant). Aplatissez légèrement chaque bille de pâte avec le dos d'une fourchette.
  6. Enfournez pour 8 minutes de cuisson.
  7. Laissez tiédir une dizaine de minutes puis laissez refroidir sur grille. Recommencez jusqu'à épuisement de la pâte.


Bon appétit ! 
Mélisande

vendredi 1 janvier 2016

and... action !




























Très belle année 2016 à vous !

Cette année, je prends la résolution de m'alléger et de limiter au maximum mes déchets, comme le font déjà mes nouvelles consœurs de blog. Mais oui, vous avez dû remarquer que le blog et la page facebook sont enfin mis à jour ! On a recruté pour vous des pointures du zéro déchet et du DIY : Emmanuelle et Coralie ! Elles ont plein d'astuces dans leur sac à malices et vous n'avez pas fini d'apprendre de nouveaux tours de passe-passe pour panser la planète ! 

Je vous présenterais bientôt toute l'équipe car nous sommes maintenant 5. Pas toujours fidèles au rendez-vous, mais toujours prêtes à dénicher de bons plans pour nous aider à respecter notre environnement et notre santé avec plaisir et bonne humeur. 

Restez connectés !

À très bientôt,
Mélisande